Bonjour Visiteur,
Il était une fois, la R.P.C.U.
En Charente-Maritime, territoire expérimental de la mise en oeuvre de la R.P.C.U., un an de retard a été pris par IGN pour livrer la future première mouture. Ce retard a été saisi comme une opportunité pour poursuivre la mise à jour du plan cadastral par la D.D.Fi.P. de la Charente-Maritime jusqu'à janvier 2016 inclu. Ce PCI relivré à IGN permettra d’atténuer le décalage du premier plan versus R.P.C.U.et la réalité terrain.
C'est sur cette dernière livraison que les travaux de réalisation de la R.P.C.U. vont être effectués. Le PCI versus R.P.C.U. qui sera livré à la D.D.Fi.P. puis à Géo17 et millésimé janvier 2017 se basera donc sur une mise à jour du PCI de janvier 2016.
Après une succession de vérifications techniques, de contrôles d'appariements, la réception sera prononcée et une période de 5 années de "garantie de parfait achèvement" prendra effet. C'est à ce terme que le label R.P.C.U. pourra être attribué au nouveau plan cadastral de Charente-Maritime.
Rendez-vous en 2022 pour cette labellisation !
En savoir + : sig@soluris.fr
No mad la LUP SIG !
Appel à participation et à présentation
La Licence Professionnelle SIG de La Rochelle (LUP SIG) vous convie à un moment de partage et de retour d’expérience sur les technologies nomades sous forme d’une table ronde dans laquelle vous pourrez exposer vos utilisations de ces technologies, ou du développement de solutions dans votre structure.
En effet, depuis plusieurs années, l’offre en ce qui concerne les SIG mobiles a suscité beaucoup d’intérêt auprès des structures utilisatrices de technologies SIG. L’engouement est tel que cette gamme d’outils est aujourd’hui très prisée et utilisée par de nombreux organismes producteurs d’information géographique.
Ces solutions nomades de plus en plus fréquemment utilisées, présentent de nombreux avantages en permettant, par exemple, à des non-experts en SIG de pouvoir implémenter une base de données en direct sur le terrain. Aussi nombreuses que variées, le choix d'une solution est loin d'être une évidence.
La LUP SIG se propose donc de vous recevoir lors d’une demi-journée organisée le jeudi 17 mars 2016 à 14 heures à la FLASH (Faculté de Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines), 1 rue Parvis Fernand Braudel à La Rochelle, Amphi 100 afin de vous éclairer sur ce thème des outils nomades.
Si vous souhaitez participer à cet événement, qu’il s’agisse de présenter un outil, un projet ou simplement en tant qu’auditeur, contactez-nous par mail afin que nous puissions organiser au mieux cette rencontre : sig@soluris.fr - mrs.bryon@gmail.com - fabien.noel.dubois@gmail.com
En savoir + : sig@soluris.fr
Stats en stock
Observatoire des risques aquitain : un projet régional élargi et profitable à tous
L'observatoire des risques permet de partager et de diffuser l'information relative aux risques en Aquitaine.
C'est un portail régional multi-partenarial autour des risques naturels, technologiques et sanitaires. La région est concernée par de nombreux risques naturels et technologiques qui ont occasionné des dommages importants. L'étude de ces phénomènes, les politiques de prévention et de gestion des crises relèvent de multiples acteurs (services de l'État, collectivités, ONRN, industriels,...). La dispersion des données de connaissance sur ces risques constitue un frein à la bonne compréhension des phénomènes et à l'efficacité des acteurs lors des prises de décision. C'est pourquoi un observatoire des risques a été mis en place.
Aujourd'hui, l'observatoire est porté par l'Etat (DREAL Aquitaine Poitou-Charentes Limousin). Le GIP ATGeRi (Groupement d'Intérêt Public Aménagement du Territoire et Gestion des Risques), dans le cadre de la plateforme PIGMA, assure le support technique nécessaire à la mise en œuvre et au déploiement de l'outil.
Pour l'heure, seuls les indicateurs généraux sont élargis au périmètre de la nouvelle Région Aquitaine-Poitou-Charentes-Limousin. Basé sur GéoClip tout comme l'observatoire des territoires de Charente-Maritime, sa prise en main aisée et intuitive ne devrait pas dépayser les utilsateurs charentais.
Bonne navigation !
En savoir + suivez ce lien "observatoire des risques"
Erosion côtière suivie à la trace
Afin de disposer d’un état des lieux de l’évolution du trait de côte sur l’ensemble du littoral français, un indicateur national de l’érosion côtière a été produit par le Cerema à la demande du ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie. Il est mis à disposition sur le site Géolittoral sous forme de cartes et sous forme de données géoréférencées. Cet indicateur participe à l’amélioration des connaissances et facilite ainsi la bonne prise en compte des phénomènes d’érosion dans les politiques publiques et les stratégies locales avec pour objectif d’anticiper leurs effets et d’adapter nos aménagements.
Il présente, à une échelle de 1 / 100 000, la mobilité passée du trait de côte en métropole et bientôt dans les outre-mer et dévoile un premier aperçu national des phénomènes d’érosion sur une période de plusieurs dizaines d’années. Il comble ainsi l’absence d’informations disponibles sur certaines parties du littoral français et vient compléter les études locales existantes en proposant une échelle d'analyse plus globale et un éclairage national à ces études.
La méthode d’élaboration de l’indicateur national a été choisie pour disposer d’informations homogènes et comparables sur l’ensemble de la France. Elle peut, par conséquent, différer de celles mises en œuvre dans des études plus locales, notamment s’agissant des échelles de temps et d’espace utilisées, conduisant, dans certains cas, à quelques divergences de résultats.
Pour une lecture pertinente des résultats de l’indicateur, il est donc recommandé de prendre connaissance de ses limites et de son périmètre d’utilisation.
En savoir + suivez ce lien "érosion côtière"
Nouvelles régions, nouvelles communes
La loi relative à la délimitation des régions (n° 2015-29) a été promulguée le 16 janvier 2015 entérinant le passage de 22 à 13 régions métropolitaines. La nouvelle nomenclature des codes régions de l’INSEE a quant à elle été publiée le 13 octobre 2015 et est entrée en vigueur au 1er janvier 2016. Les noms des nouvelles régions sont les noms provisoires définis dans la loi. Les six chefs-lieux provisoires indiqués dans un tableau proposé par l'Insee ont été fixés par décrets du 31 juillet 2015. Lorsque les noms et les chefs-lieux définitifs des régions auront été fixés par décrets en Conseil d’État, la nomenclature sera mise à jour dans le millésime du COG (Code Officiel Géographique).
En savoir + : rendez-vous sur le site de l'Insee
Pour tenir compte de ce changement, l’IGN propose également la publication des deux couches « Régions 2015 » et « Régions 2016 » sur le Géoportail. Aux alentours de mai 2016, IGN proposera également un GEOFLA® 2016 qui prendra en compte les fusions de communes qui sont entrées en vigueur au 1er janvier 2016. Pour rappel, la base de donnée GEOFLA décrit le découpage administratif national (France métropolitaine et DOM). Elle est dédiée aux applications de géomarketing ainsi que de cartographie statistique et thématique.
En savoir +, rendez-vous sur l'espace profesionnel de l'IGN
Les prochains rdv de Géo17
Les groupes de travail
Groupes de Travail Réseaux : les mercredis 16 mars, 13 avril et 11 mai 2016.
Les instances décisionnelles
- Comité Technique : le mardi 10 mai 2016. - Comité Décisionnel : juin 2016.
En savoir + : sig@soluris.fr
|